DIY: mini tote-bag pour la rentrée

Super pratique le mini tote bag te permettra  d’y glisser

ton lunch ou encore ton magazine préféré.

Matériel :

– 2  X [ 1 coupon de tissu de 29cm a X 36 cm b ] A1 et A2

– 2  X [ 1 coupon de tissu de 53 cm a X 6 cm b ] B1 et B2

– Fil à faufiler

– Fil à coudre

– 1 aiguille à coudre et épingles

– 1 paire de ciseaux

– 1 machine à coudre

Mode opératoire : 

– Sur l’envers d’un seul côté a des coupons A, réaliser un ourlet de 1 cm de large.

– A 1 cm des bords, coudre les coupons A endroit contre endroit à l’exception des côtés ayant les ourlets (= ouverture du sac). Retourner ensuite le sac.

– Plier en deux, endroit contre endroit, les coupons B sur la longueur et coudre les côtés a à 1 cm du bords. Retourner ensuite les hanses.

– Plier sur 1 cm les extrémités des hanses et les coudre à 5 cm et 2 cm du bord ayant l’ourlet du sac.

A nous la rentrée!

*Charline

nu@outlook.fr

Il était une fois chez Cartier … #2

A mon tour de narrer notre rencontre avec la prestigieuse enseigne Cartier Bruxelles

Le tutoriel « DIY Collier imitation Cartier à moindre frais » est à l’origine de cette aventure hors norme.

Comme l’explique Miss « Artemise et moi« , nous avons découvert une marque de luxe chargée en histoire.

Pour ma part, cette grande première aura été marquée non pas par un bijou mais plutôt par un personnage haut en couleur. Il s’agit de Jeanne Toussaint, femme de caractère, d’origine belge et dont la meilleure amie n’était autre que Coco Chanel… Bourrée d’imagination, la compagne de Charles Cartier, a été l’instigatrice de la collection Léopard Panthère.

Les pièces de la collection Panthère, dont nous nous sommes parées l’espace d’un instant, sont principalement composées d’or jaune, de laque (pelage) et d’Onyx (museau). Parfois des diamants se sont fait remarquer par leur éclat. Les yeux, toujours verts, sont quant à eux soit en grenats tsavorits, émeraudes ou en peridots.

En observant les photos, vous pourrez remarquer que la fameuse Panthère possède différentes sensibilités suivant les modèles. Certains diront d’ailleurs que cette collection n’est pas que destinée à la gente féminine…

Globalement je pense que le luxe est un concept qui recherche la perfection et met la barre très haut, à nous de savoir l’importance que l’on lui accorde.

 Je souhaite remercier Laurence B qui nous a invitées après avoir pris le temps de visiter le blog « Artemise et moi » ainsi que Mathieu M notre hôte au sein de la maison Cartier.

Je suis sortie du coffre-fort avec un énorme sourire aux lèvre et des rêves plein la tête.  

                                                                                                               *Charline

                                                                                                                                      nu@outlook.fr

DIY bracelet macramé tête de mort

L’été a pointé le bout de son nez et le besoin d’aventure se fait ressentir.

Voici une idée de création qui te fera sentir comme une pirate!

Matériel :

m

-Une perle tête de mort 1,1 x 1,1 x 1 cm

-Du fil de cuir de 1 mm de diamètre que tu veilleras à travailler au préalable afin de l’assouplir.

-Pour un tour de poignet de 14 cm, il te faut:

                    140 cm de fil qui servira à réaliser le macramé (A et B)

                    34 cm de fil qui fera le tour de ton poignet (C)

                    N’hésite pas à adapter les dimensions si ton poignet est plus grand

Mode opératoire :

Le macramé, comment ça marche ?

Mieux vaut des images plutôt qu’un long discours

 En avant !
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    1. Plie le fil C en deux et fais un nœud en boucle de 1 cm à l’extrémité

     2. Fais du macramé sur 6 cm

     3. Enfile la perle sur le fil C

     4. Reprend le macramé sur 6 cm

     5. Termine en faisant un double nœud avec les lien A et B  et coupe le surplus de fil

 Ton bracelet est prêt à être enfilé et à durer pour l’été

A l’abordage !

*Charline

nu@outlook.fr

DIY Collier imitation Cartier à moindre frais

 

 Explications 

step by step 

afin de réaliser un collier élégant et un brin fauve …

 

Matériel pour un collier de 43 cm

+/- 250 gr de perles de rocaille blanches _ 2 mm de diamètre
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1 perle argentée _Tête de léopard_ 2 x 1,7 cm avec une ouverture de 0,9 x 1,7 cm
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1 bobine de fil à coudre dans les tons des perles

2 embouts de finition argentés _ 1,5 cm de diamètre et 1,2 cm de profondeur

1 fermoir argenté adapté aux 2 embouts

72 perles en acier à écraser

 

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1 pince pour écraser les perles en acier

1 pistolet à colle

1 mètre de couturière

1 paire de ciseaux

1 aiguille à broder (suffisamment fine pour enfiler les perles)

1 enfile aiguille

1 rouleau de papier collant

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 Mode opératoire
Etape 1 : réaliser 24 rangs de perles de 54 cm de long
k

Pour un rang :

          – Couper 1 fil de longueur supérieure à 54 cm

– Bloquer une extrémité du fil à l’aide d’une perle à écraser

– Enfiler les perles sur 54 cm avec l’aide de l’aiguille à broder

– Bloquer l’autre extrémité du fil avec une autre perle à écraser (ne pas laisser de jeu entre les perles)

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Etape 2 : tressage

2.1. Sur une des extrémités, rassembler tous les rangs :

– A l’aide d’un fil, unir les rangs de perles par 4 _ le fil enserre les rangs entre la première perle de rocaille et la perle à écraser (x6)

– Réunir ensuite, de la même manière, les ensembles de 4 rangs par 2 _ le fil enserre les rangs entre la première et la deuxième perle de rocaille (x3)

– Réunir encore une fois les 3 ensembles ainsi formés

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Note:

Cette étape permet par la suite une meilleure fixation du collier  dans les 2 embouts de finition

Vérifier que le diamètre corresponde à celui des 2 embouts de finition (dans le cas contraire, adapter)

 2.2. Réaliser la tresse avec 3 liens comportant chacun 8 rangs de perles. Veiller à ce que les rangs soient bien placés et assurer ainsi l’harmonie du tressage.

*Charline Après 17 cm de tressage, enfiler la tête du fauve _ Les oreilles positionnées du côté de la partie déjà tressée

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2.3. Quand la tresse atteint une longueur de 42 cm, rassembler les 24 rangs de perles et les fixer à l’aide d’un papier collant

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2.4. Adapter la longueur des rangs en coupant la perle à écraser et retirer le surplus de perles. Fixer avec une nouvelle perle à écraser.

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2.5. Assembler tous les rangs de perles comme au point 2.1. et retirer le papier collant

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m

Etape 3 : fixation des attaches

k

3.1. Couper le surplus des fils et entourer le reste sur les extrémités avec de la colle

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3.2. Mettre de la colle dans les embouts de finitions et positionner rapidement les extrémités.

Note:

Il faut que le « plat » de la boucle de l’embout de finition soit dans l’axe du « plat » de la tresse

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3.3. Fixer les attaches aux embouts à l’aide de la pince

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Voici le résultat en couleur  !!!!

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Si l’envie de réaliser le collier vous vient, je vous invite à poster le résultat de votre oeuvre.

Bien à vous

*Charline

nu@outlook.fr

Le kit « Faites votre propre bonnet à pompon » de chez Veritas

Le kit « Faites votre propre bonnet à pompon » de chez Veritas pourrait bien combler votre besoin irrépressible d’en posséder un.

Contenu du sac :

  • 1 pelote de Capilla

  • 1 aiguille circulaire n°7 – 40 cm

  • 1 pompon

  • un descriptif du travail

Le kit qui nous a été gracieusement offert par Veritas est destiné aux DEBUTANTES

Inexpertes dans le monde du tricot, je fais donc la testeuse idéale.

Let’s go !

… Environ 4h00 de travail disaient-ils …

Etape 1 : se familiariser avec les termes et symboles spécifiques au tricot

  • Les aiguilles circulaires = aiguilles qui permettent de tricoter en rond et ainsi réaliser un tube sans couture.

  • m = maille

  • rg = rang

  • Monter = créer un ligne de l’ouvrage

  • Côtes 1/1 et jersey = points spécifiques

Etape 2 : s’entraîner … Et encore s’entraîner

  • Monter des mailles.

    Ps : étant donné que l’ouvrage commence avec les points « côtes 1/1 », le montage est spécifique à ceux-ci. (m envers, m endroit)

  • Tricoter des points à l’envers, à l’endroit et les alterner sur une même ligne. N’arrêtez pas, tant que le rendu ne soit pas parfait !

Côtes 1/1
alternance successive « m endroit,m envers »
Jersey
succession « m endroit »
Etape 3 : réaliser le bonnet en suivant les instructions
  • Monter 60m et tricoter en côtes 1/1

  • Tricoter 6 cm

  • Continuer en Jersey sur 14 cm

  • Sur le rg suivant, tricoter 2m ensemble, 3m endroit, toujours répéter. Il reste 48m

  • Tricoter toutes les m endroit sur un rang

  • Rabattre toutes  les mailles

  • Passer un fil dans le dernier rg et et froncer toutes les m

  • Bien serrer et coudre le pompon


Trucs et astuces d’une débutante

  • Quand le montage de la première série de m est fait, veillez à ce qu’elles soient toutes positionnées dans le même sens sur l’aiguille circulaire. On évitera ainsi de monter un tube tordu.

  • Pour avoir l’effet souhaité « côte 1/1 », un nombre pair de m est indispensable. Ne perdez ou ne créez donc pas une m en cours de route …

Après avoir monté et démonté maintes fois le tricot voici ENFIN le rendu final !

Mes conclusions

D’un point de vue technique, l’épaisseur de la laine est idéale pour débuter. Cependant, elle est assez « floue » et la visibilité des points s’en retrouve moins nette. Il faut donc être plus attentif afin de détecter les erreurs à temps. Le « marchandising » pourrait être complet si les fournitures comprenaient de quoi fixer le pompon … Je chicane peut être.

D’un point de vue ressenti, mon chef d’œuvre (oui, oui j’en suis fier) équivaut parfaitement à la photo du kit.

 Pour avoir porté le bonnet, je peux dire qu’il tient chaud mais à tendance à grattouiller. Le kit « Faites votre propre bonnet à pompon » de chez Veritas qui est un modèle assez basique ne serait pas mon choix de cœur. Mais même si je pense qu’il y a d’autres moyens de se lancer dans le tricot, le kit peut être un bon argument de vente pour mettre le pied à l’étrier !

*Charline

nu@outlook.fr 

A la découverte du papier japonais * papier washi

Qu’es aquò ?
Le papier japonais ou le « washi » n’est pas un papier ordinaire.
Fait de fibres végétales, il se démarque par sa grande résistance mais aussi et surtout par ses motifs appelés généralement « chiyogami ».
Dans nos contrées, le papier japonais est utilisé dans la décoration d’objets et la confection d’origamis.
Au Japon, il est notamment utilisé dans le recouvrement des lanternes ou comme papier d’emballage afin de protéger le kimono de l’humidité. On retrouve aussi le papier « washi » dans les bâtiments traditionnels au niveau des panneaux de papier coulissants « shoji » et des portes « fusuma »,…  -clic-
Pour le DIY, j’ai suivi la grande tendance occidentale et donc décidé de recouvrir des boîtes.

Le choix du papier a été difficile car il existe une large gamme de motifs. Les dessins sérigraphiés sont tous plus intéressants les uns que les autres. Mon premier choix s’est porté sur une feuille couleur « vert d’eau ». On peut y observer des sillons d’oiseaux métallisés se démarquant de l’arrière plan par un jeu de lumière. L’effet est bluffant !

Généralement, on retrouve en magasin le papier dans les dimensions 64×96 cm à un prix allant de 7 à 10 euros.
En comparaison avec l’artepatch -clic-, il n’y a pas photo !
La qualité du papier japonais par sa résistance, sa tenue dans le temps et sa richesse en dessins se retrouve en tête!

Mais étant donné la valeur d’une feuille, il va de soi qu’il faut l’utiliser de manière intelligente.

Derniers conseils :
J’ai pu remarquer que la texture du papier pouvait être différente d’un motif à l’autre certainement liée à l’encre utilisée. Après comparaison, ma préférence ira plutôt pour un papier lisse car il est plus facile à couper au cutter et si l’on souhaite empiler les boîtes on ressent moins l’effet de frottement.

Attention aux papiers clairs: on aura tendance à voir par transparence les défauts de l’objet recouvert.
A vos ciseaux!
                                                                                                                                         *Charline
nu@outlook.fr

Un petit tour du côté de la Suisse romande

Rien de plus typique que les montagnes à perte de vue, les vaches et leurs cloches autour du cou, le chocolat, les montres, les couteaux, les raclettes,… Et aussi l’argent.

Mis à part tous ces clichés, qu’ai-je bien pu retenir de mon séjour en Suisse?

La Suisse romande, bien que francophone, possède des différences majeures avec ma région natale.
C’est par des détails observables au fur et à mesure de mon séjour que je suis arrivée à mettre le doigt dessus.
Par exemple; la qualité des routes, le nombre plus élevé de voitures de luxe, la courtoisie des gens, l’accent traînant, le coût de la vie plus élevé …
Mais en seulement trois jours, il est impossible d’établir un tableau comparatif et ce avec justesse.

Trêve de bavardage, voici une description rapide de mon voyage de 3 jours

La Robella

La Robella est une station de sport d’hivers. Faute de neige, j’ai fait la descente de la colline en trottinette tout terrain! Durant le parcours en piste ROUGE, j’ai eu la chance de découvrir « la fontaine des fées ». -clic-

C’est après un bon verre d’absinthe que je suis repartie plus ragaillardie que jamais.

Les Gorges de l’Areuse

Amis de la nature, cet endroit vaut le détour pour une randonnée. Je qualifierais le parcours de facile mais je le déconseillerais aux familles avec des enfants en bas âge. Certains passages sont très étroits (pas évident pour une poussette) et se trouvent la plupart du temps en hauteur.

Lausanne

J’y ai passé une petite journée à arpenter les boutiques. Lausanne est très pentue et surplombe le lac Léman (MA-GNI-FI-QUE!!!).
En fin d’après midi, je me suis ressourcée au bord du lac parmi les badauds .

Les Bains de Lavay

Quoi de mieux pour clôturer son séjour qu’une baignade dans des bains à ciel ouvert ?
Le détail qui tue => aucune crainte que l’on te pique ta serviette de bain ou tes lunettes déposées à l’entrée d’un sauna. Les gens là bas n’en auraient aucune utilité.

***

Le séjour fut court mais suffisant pour m’imprégner de l’esprit Suisse.

Le Pays où il y fait bon vivre

J’étais quand même contente de retrouver mon plat pays.
Ne dit-on pas « Le bonheur est ici quand on ne croit pas qu’il est ailleurs ? ».
Je tiens à remercier mes hôtes qui m’auront réservé un super accueil.

Charline
nu@outlook.fr

Hola Barcelona! City Trip

Située au littoral méditerranéen dans le Nord-Est de L’Espagne, Barcelone est l’endroit idéal pour un City Trip. Tout y est mis en œuvre afin de faciliter le séjour du touriste.

De Belgique, on a pris l’avion et atterri à l’Aéroport international de Barcelone. De là, il est nécessaire de prendre le train ainsi que le métro afin de se rendre dans le centre-ville. Etant donné que Barcelone est assez grande, on a choisi de prendre un Pass pour les transports en commun de 5 jours (30,50 ). Il nous aura fallu une petite heure pour arriver à notre hôtel situé non loin de la Rambla. Au moment de réceptionner la clé de notre chambre, on découvre la taxe de séjour de 0,75  par nuit et par personne à payer.

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Une fois installées, on se met tout naturellement au rythme de vie espagnol.

Visites au matin, plage l’après midi et au soir, on se met à la recherche d’un restaurant dans la ville qui s’anime.

A Barcelone il y en a pour tous les goûts et pour tous les genres !

La population là bas est très hétéroclite ; nationalités différentes, tatoués, artistes, jeunes,…

On a commencé par arpenter les rues pleines de charmes du quartier Gothique avec ses petites boutiques (il y en a pas mal de perles et de créations!), ses monuments historiques, ses pâtisseries,…

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Dans le quartier Garcià se déroulait la Festa Major (carnaval du mois d’août). On a pu y assister à un concert typiquement espagnol parmi les espagnols. Par contre, on a raté les fameuses Castellers (tours humaines).
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Dans la ville, il y a beaucoup d’artistes de rues (guitares, pianos, mimes, faiseurs de bulles,…) qui s’y représentent avec un certain talent et toujours avec le sourire.
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On a aussi visité le parc Guël créé par Antoni Gaudi. Le jardin où l’on peut y découvrir une architecture tout en courbe propre à l’artiste, se situe en hauteur. On peut donc y admirer une vue panoramique de toute la ville. L’entrée est libre, cependant la Zone Monumentale est devenue payante (8 ) et nous pouvons y voir la célébrissime salamandre.

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La fameuse Sagrada Familia (crée aussi par Gaudi) toujours en construction vaut aussi le détour. Comptez au minimum 14,80 €. pour s’y introduire.

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L’Avenue Rambla qui possède une allée centrale piétonne relie la place de Catalogne et le vieux port. Elle comporte de nombreux restaurants et boîtes de nuits. A proximité, on peut se balader dans le marché très touristique de la Boqueria.

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A mes yeux, la Rambla est assez décevante malgré sa notoriété. Les restaurants proposent des formules qui à première vue peuvent paraître intéressantes mais ne tiennent pas beaucoup leurs promesses. La paella comporte deux malheureuses crevettes, trois petites moules, les légumes sont insipides et les boissons coûtent horriblement chers.

On avait aussi pour projet d’aller voir les Fontaines Magiques de Montjuïc. Il s’y déroule au soir un spectacle de son et lumière gratuit. Malheureusement, en bonnes touristes que l’on était, on s’y est rendue un soir où il n’y avait pas de représentation. Il est bon de savoir, qu’il y en a que du jeudi au dimanche et ce, de mai à septembre. On n’aura pu qu’admirer l’architecture des fontaines et profiter de la douce chaleur de la nuit.

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Pour les plus gourmands, il faut impérativement prévoir un budget nourriture ! A part notre déconvenue de l’Avenue Rambla, il y a possibilité de très bien manger en s’enfonçant dans les rues plus typiques de Barcelone. Dans le quartier gothique, on y a bu le meilleur mojito à la fraise ever.

Tout est tentation ; paella, tapas, jambon ibérique, churros, …

Attention aux mauvaises surprises, certains commerces n’incluent pas dans leurs prix affichés les 10% de la TVA.

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Barcelone conserve sont aspect authentique mais elle allie aussi une touche de modernité caractérisée entre autre par la tour Agbar ou encore le W Barcelona Hotel. Ce dernier situé en bord de mer, pourrait être associé à un immeuble du très réputé Largo Winch !

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Je terminerais mon article en disant qu’il est impossible de découvrir la ville en un jour.

Il y a énormément de choses à voir et à visiter.

Et pourquoi ne pas le faire en louant un vélo ?

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Charline

nu@outlook.fr

La part belle à la Chrysanthème FIMO

Un cadeau à offrir, une folle envie de création et me voilà embarquée dans la conception d’un collier PRINTANIER.

Point de départ ; une chaîne en acier récupérée d’un vieux bijoux.

Pour le pendentif, inspiration directe d’une vidéo.

CHRYSANTHEME (lien)

Le COLLIER :

une chaîne, 1 attache, 2 capuchons en forme de tulipes, du fil de fer et de la colle

Le PENDENTIF :

1 bloc de FIMO, un four, une perle nacrée, du fil de fer, du fil de pêche et de la colle

Étant donné ma méconnaissance de la FIMO, j’ai pris le bloc au hasard.
Il s’avère qu’il en existe différentes textures.
Ici, il s’agit de la plus tendre (soft). Très facile à façonner mais aussi très facile à démettre par inadvertance… Grrr

Le dernier conseil que je peux donner si vous vous décidez d’essayer la FIMO, il est préférable de travailler dans un environnement propre (sans poussière, pluche, tâche de couleur ,…) au risque d’avoir de mauvaises surprises.

Si vous souhaitez partager certaines remarques, faire découvrir des techniques ou autre voici mon adresse mail : nu@outlook.fr

Bien à vous,

*Charline

Ma petite robe bleue

Je me permets de me présenter : « Charline apprentie couturière & CO »

Month’s Guest du Blog « Artémise et moi »,  j’espère lui faire honneur en y présentant …

… Ma petite robe bleue

Après avoir réalisé maints bords de pantalons et qu’un seul coussin,  j’ai décidé de me lancer dans la confection d’une robe.
Mais comment fait-on lorsque l’on a très peu d’expérience dans le monde de la couture ?

Facile, il nous faut ;

de la curiosité, du temps et beaucoup de patience.

… Certains diront que commencer par des vêtements plus simples est moins périlleux et évite l’abandon du projet. Au vu du temps que ça m’a pris, j’aurais peut être mieux fait d’écouter ces personnes …

« Couture Vintage des éditionsHachette Loisir » est le livre dans lequel j’ai copié le patron de la robe

Jackie O
(Le nom est déjà plein de promesses)

Sur ce projet, j’ai énormément appris ; copier un patron à ma taille,
plisser, froncer, assembler des parmentures, mettre une tirette, réaliser une boutonnière ,…   

Après de nombreuses retouches, voici le résultat final.

                                              

En conclusion, les étapes de confection de la robe indiquées dans le livre auront permis de mettre mon pied à l’étrier. Toutefois, j’aurais pu éviter de grossières erreurs et des subtilités m’auront certainement échappées mais je ne regrette rien. Je tiens à préciser qu’il faut rester vigilant sur le choix de la taille du patron, les mensurations sont petites.

Si vous souhaitez partager certaines remarques, faire découvrir des techniques ou autre voici mon adresse mail : nu@outlook.fr

Bien à vous,

Charline apprentie couturière & CO